Algérie algérienne Imams mission en France provoquer la controverse parmi les politiciens français

Algérie algérienne Imams mission en France provoquer la controverse parmi les politiciens français

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Algérie TSA arabe: L’arrivée de la mission des imams algériens à la Grande Mosquée de Paris (100 Imam), dans le cadre de la mission algérienne à encadrer la prière pendant le « Ramadan » du mois de mai prochain, un large débat entre les partis politiques en France, entre les expositions et les supporters, l’idée de recevoir Imams Les étrangers pour réaliser l’idée de “l’islam français”.

Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs Mohammed Issa, peut se produire au cours d’une rencontre avec le ministre français de l’Intérieur Gérard Collomb, le 13 Mars dernier mod_vvisit_counter « à l’attention de l’expérience algérienne dans la formation des Imams bien. »

Mais l’arrivée des Imams Algériens, à Paris pas vu avec satisfaction par les Jardins politiques Bograb (d’origine algérienne et fille de l’activiste), qui a déclaré dans une interview publié aujourd’hui sur le « Figaro »: « Il est troublant de parler de faire l’Islam Français (Islam en France) par l’introduction d’imams algériens «compte tenu de mettre en imams étrangers, se référant aux algériens » hérésie », et a confirmé que l’Algérie ne sera pas un fondamentaliste islamique et que cette tendance est venu à partir du Moyen-Orient par les Frères musulmans.

Pour sa part, le secrétaire général de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, s’exprimant dans une déclaration aux écrits algériens “Boualem Sansal”, affirmant que l’Algérie souffre toujours des fondamentalistes. Et que l’islam fondamentaliste est toujours en Algérie, et un magasin entre le peuple et les institutions, ajoutant que le fondamentalisme se renouvelle constamment en Algérie, s’adapte aux conditions modernes, et se répète et établit des relations importantes avec l’islamique international.

“L’islam algérien était le plus modéré en France et dans la Grande Mosquée de Paris”, a déclaré l’expert en géopolitique, Alexandre D’Val.

Alors que de nouvelles propositions antiterroristes sont lancées par la droite politique d’extrême droite en France après l’attaque de la France le 23 mars. Valérie Piccres, la présidente des républiques de la région d’El Dufras, a confirmé que Tideha devait former les imams à court terme, a rapporté l’AFP Info.

“Tous les imams étrangers en France aujourd’hui doivent être formés aux valeurs et aux lois de la République, et ensuite ils doivent les respecter dans leurs discours.”

Pour sa part, les effets de « Manuel Valls, » qui a soulevé son discours sur « le problème de l’islam en France, » une grande controverse, et a été considéré comme le premier ennemi salafiste de l’islam empoisonné, où confirme le député qui est lié à la fête Emmanuel Débrouillard, l’interdiction salafiste et anti-intégration en France. Et la proposition qui a été rejetée par le « Edward Philip », le mardi 27 Mars à l’Assemblée nationale, en soulignant que « nous ne pouvons pas interdire l’idée, » et que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen est incompatible avec l’interdiction salafiste à condition qu’ils ne perturbent pas l’apparence de l’ordre public prévu par Loi “.