Demande de brevet en Algérie en 2017

 

Demande de brevet en Algérie en 2017

L’Institut national de la propriété industrielle a reçu 135 demandes de brevet depuis 2017 contre 80 brevets en 2016, comme l’a confirmé le directeur général de cet organisme, M. Abdelhafiz Belhamdi.

Et a expliqué M. Belmahdi, grâce à l’intervention de lui en marge de l’édition de lancement 7 du salon national pour l’innovation hier que le ministère de l’Industrie et des Mines en collaboration avec les ministères de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et de courrier et technologies de l’information et de la communication dans le processus de préparation du projet pour la création de bureaux pour la technologie de conversion.

Et Belmahdi a ajouté que ce projet sera lancé « dans un proche avenir », notant que les bureaux de transfert de technologie visent à exploiter les brevets au niveau universitaire et ainsi que les personnes et jouer un rôle de médiateur entre la recherche et l’institution.

Il convient de noter que le salon national de l’innovation organisé par l’Institut national de la propriété industrielle du 5 au 7 Décembre avait supervisé l’inauguration, le secrétaire général du ministère de l’Industrie et des Mines M. Khairuddin Mjobe avec la participation de 80 exposants dont 42 inventeurs de 7 institutions innovantes.

  1. Mjobe a expliqué à la presse que « le plus grand défi est d’être soulevée dans le transfert de l’industrie algérienne, qui passe par l’élite, notamment par des inventions et des innovations. » /

 

Liban : Saad Hariri renonce à sa démission

Liban : Saad Hariri renonce à sa démission

Le Premier ministre libanais Saad Hariri a renoncé à sa démission, un mois après cette décision surprise qui avait pris de court le Liban et la communauté internationale.

Le Premier ministre libanais Saad Hariri est revenu mardi 5 décembre sur sa démission, un mois après cette décision surprise qui avait pris de court le Liban et la communauté internationale, selon un communiqué du gouvernement.

“Le Conseil des ministres a remercié le Premier ministre d’être revenu sur sa démission”, a indiqué le gouvernement dans un communiqué lu par Saad Hariri à l’issue de la première réunion du gouvernement depuis cette démission choc, le 4 novembre.

“Toutes les composantes politiques [du gouvernement] décident de se dissocier de tous les conflits, disputes, guerres ou affaires intérieures des pays arabes frères, afin de préserver les relations économiques et politiques du Liban”, a poursuivi Saad Hariri.

“Distanciation”

Cette “distanciation” vise à “préserver les relations politiques et économiques du Liban avec ses frères arabes”, poursuit le texte.

Une telle politique était déjà prônée par ce gouvernement au moment de sa formation en 2016. Mais l’engagement actif, depuis des années, du Hezbollah chiite aux côté du régime syrien de Bachar al-Assad et les accusations saoudiennes mettant en cause son implication da le conflit au Yémen ont mis à mal cette politique.

La démission de Hariri, annoncée le 4 novembre 2017 dans une allocution télévisée enregistrée à Riyad, a provoqué une crise politique majeure au Liban, sur fond de lutte d’influence régionale entre l’Arabie saoudite, dirigée par une monarchie sunnite, et l’Iran chiite.